Gérard de Nerval et la Révolution
Anne a ouvert un chapitre fort intéressant de l’histoire du mouvement révolutionnaire. J’ai voulu mettre mon grain de sel… ET du coup j’ai sué, sué, sué. Finalement j’ai trouvé pourquoi cette œuvre nous paraît si intéressante. Gérard de Nerval ferme brillamment des portes datées (anciennes). Mais il réussit à ne nous entraîner dans aucun sentiment d’identification. On ne soutient ni le roi, ni Léo Burckart, ni les apprentis terroristes. D’un façon singulière, le sens du spectacle obstrue complètement l’horizon politique. Grâce à Gallica, tout le monde peut lire le texte et le dossier sur les sociétés clandestines. Le débat peut donc continuer et s’élargir. Avec Paul-Amour, nous avons déjà poursuivi un morceau de la piste Philippe Buonarroti. Dans un projet qui vise à montrer que Robespierre, Saint-Just et cie sont les premiers communistes de l’histoire…
Pierrot ou Pierre a déjà envoyé un texte sur l’attentat du pont de Crimée. Je le poste en MM n° 28 le plus vite possible.
Embrassements révolutionnaires
Michmich