Bonjour,

Il arrive (trop rarement) qu’une “pépite” littéraire et politique nous tombe - non pas du ciel - mais de la plume d’une amie et camarade.

Sur le site où elle recueille les articles qu’elle écrit sur le conventionnel Saint-Just, Anne Quennedey nous fait découvrir son dernier opus « La vie indépendante que je me suis donnée dans les siècles et dans les cieux » : Saint-Just et le souci de soi.

Pour nous, il est extrêmement heureux que ce numéro 200 de Communistus porte la marque forte de Saint-Just, ce penseur qu’avec Maximilien Robespierre et leurs amis, nous rangeons dans la catégorie des inventeurs de l’idée et de la pratique communistes dans le monde.

Nous pensons que les communistes ne meurent pas. Saint-Just lui-même nous explique comment il a pensé et organisé la durée de sa mémoire. Anne Quennedey, pas à pas, explique comment Saint-Just n’est pas chrétien, comment Saint-Just n’est pas stoïcien, sans se laisser abuser par l’utilisation d’un vocabulaire proche.

Comment Saint-Just se définit-il ? Il serait satisfait - sans aucun doute - que nous le qualifiions d‘“indépendant”. Pour nous, il est indépendant. Il a une pensée si subtile et si libre que nous pensons qu’il a fondé par ces quelques mots l’avenir communiste de la pensée.

Oui, camarades et frères, Louis Antoine de Saint-Just, Maximilien Robespierre et tous vos compagnons, vous vivez, vous vivrez en vos écrits et en vos réalisations, et dans les réalisations que vous nous permettez de faire.

Vive la Révolution !

Communistus